© Oliver Pryce
Responsable du Projet
Oliver Pryce
MYANMAR
Mission archéologique française du
Ministère des Affaires Étrangères
Mission archéologique française du
Ministère des Affaires Étrangères
La mission est financée par le Ministère des Affaires Étrangères français
et du développement international français. Les institutions partenaires incluent
l‘Université de Dagon (Myanmar), l‘Université de Houston (États–Unis),
l’Université College London (Grande-Bretagne), l‘UCL Qatar (Qatar), l‘Université
Nationale Australienne (Australie), l’Université College Dublin
(République d‘Irlande) et l‘Université d‘Otago (Nouvelle–Zélande)
La mission archéologique française au Myanmar, établie en 2001, est la plus vieille coopération scientifique entre le CNRS et le Ministère des Affaires Religieuses et Culturelles du Myanmar. Les recherches ont permis de documenter la plupart des occupations de la préhistoire récente connues dans le pays. Citons, par exemple, les cimetières de l‘âge du fer dans la vallée de Samon au sud de Mandalay ou, plus récemment fouillés, les sites du Néolithique et de l’Âge du bronze de Nyaung‘gan / Oakaie au nord de Monywa. Actuellement, nous effectuons une fouille sur la cité de Pyu de Halin au nord de Mandalay, site répertorié à l‘UNESCO. Le retard de l’archéologie au Myanmar nous ont conduit à fournir un travail d’élaboration chrono-culturelle qui couvre une séquence de deux millénaires, depuis les débuts du Néolithique (IIe millénaire av. J.-C.) à l’Âge du fer récent (formation de l‘État du Pyu : 1ers siècles ap. J.-C.). Le programme des recherches menées sur le terrain est une combinaison entre une surveillance intensive, des fouilles des cimetières, d’habitats et de sites industriels dans la partie centrale du Myanmar, près de la jonction des rivières de Chindwin et d‘Irrawaddy.
L’équipe comporte des chercheurs et des étudiants de Master et de Doctorat spécialisés en anthropologie biologique, ADN ancien, alimentation et régime alimentaire, déplacement de population et migration, archaeobotanique, zooarchaeologie, céramique, lithique, verre et métal. Notre axe théorique de travail concerne la technologie et la culture matérielle telles qu’elles sont développées dans l’École française. Ceci nous permet de caractériser et d’interpréter l’évolution des populations du passé et leurs interactions avec le millieu par l’étude détaillée des productions, des échanges et de l’utilisation d’objets communs ou exotiques.
La mission archéologique française au Myanmar, établie en 2001, est la plus vieille coopération scientifique entre le CNRS et le Ministère des Affaires Religieuses et Culturelles du Myanmar. Les recherches ont permis de documenter la plupart des occupations de la préhistoire récente connues dans le pays. Citons, par exemple, les cimetières de l‘âge du fer dans la vallée de Samon au sud de Mandalay ou, plus récemment fouillés, les sites du Néolithique et de l’Âge du bronze de Nyaung‘gan / Oakaie au nord de Monywa. Actuellement, nous effectuons une fouille sur la cité de Pyu de Halin au nord de Mandalay, site répertorié à l‘UNESCO. Le retard de l’archéologie au Myanmar nous ont conduit à fournir un travail d’élaboration chrono-culturelle qui couvre une séquence de deux millénaires, depuis les débuts du Néolithique (IIe millénaire av. J.-C.) à l’Âge du fer récent (formation de l‘État du Pyu : 1ers siècles ap. J.-C.). Le programme des recherches menées sur le terrain est une combinaison entre une surveillance intensive, des fouilles des cimetières, d’habitats et de sites industriels dans la partie centrale du Myanmar, près de la jonction des rivières de Chindwin et d‘Irrawaddy.
L’équipe comporte des chercheurs et des étudiants de Master et de Doctorat spécialisés en anthropologie biologique, ADN ancien, alimentation et régime alimentaire, déplacement de population et migration, archaeobotanique, zooarchaeologie, céramique, lithique, verre et métal. Notre axe théorique de travail concerne la technologie et la culture matérielle telles qu’elles sont développées dans l’École française. Ceci nous permet de caractériser et d’interpréter l’évolution des populations du passé et leurs interactions avec le millieu par l’étude détaillée des productions, des échanges et de l’utilisation d’objets communs ou exotiques.